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Votre épanouissement pour seul but !

Avec le temps et les années, souvent, le désir s'amoindrit au sein du couple et le sexe peut perdre de sa saveur et de son intérêt entre les deux partenaires. Ce qui était, par le passé, spontané, passionné et créateur de frissons ne l'est plus de façon si évidente. La sexualité devient alors un rituel traditionnel plutôt qu'un réel espace de partage et une vraie opportunité de créer du lien dans la relation.

Les origines de cette diminution du désir dans le couple sont souvent multiples : les obligations familiales nombreuses (enfants, amis, projets...), le manque de temps dans une vie à 200km/h, parfois une distance émotionnelle installée liée à des frustrations passées ou actuelles dans le couple, des habitudes et la routine qui rendent les câlins moins tentants et appétissants.

Alors que faire pour retrouver du désir, du partage et de la joie sous la couette?

 

1. Accepter et accompagner le changement

Après quelques années, le désir se transforme, vous vous connaissez sur le bout des doigts, la relation est plus profonde mais moins passionnelle, et le désir spontané de faire des galipettes sous la couette est parfois moins présent qu'au début. Tout ceci est tout à fait normal. Le désir spontané est éveillé par la nouveauté, l'envie de découvrir l'autre, l'alchimie des sensations inconnues jusqu'alors. Or vous vous connaissez depuis tellement longtemps. Il est important alors d'accepter que le désir change dans votre relation, au profit d'une relation plus profonde et complice dont le désir est à éveiller et cultiver afin de se découvrir davantage et de se demander réellement : comment pouvons-nous créer un réel partage et de nouvelles découvertes ?

 

2. Etre bien avec-soi même

Selon les aléas de la vie, votre estime de vous et comment vous vous sentez avec vous-même peut varier faiblement ou fortement. Cependant, si vous voulez continuer à désirer votre partenaire et si vous désirez avoir une vie sexuelle épanouie, il est primordial d'être bien avec vous même en 1er plan. Cela signifie être bien dans votre corps, être bien dans votre tête et vos pensées, mais aussi vous sentir en sécurité (et non pas tendu(e) ou stressé(e)) dans la vie) afin d'être disponible physiquement et psychologiquement pour partager des moments intimes de qualité avec votre partenaire. En outre, plus vous vous connaissez vous-même, autant votre corps que votre plaisir, plus facilement vous pourrez expliquer à votre partenaire ce que vous aimez et ce que vous n'aimez pas.

 

3. Etre bienveillant et communiquer

Le sexe, s'il n'est pas partagé avec envie ou plaisir des deux côtés, peut parfois éveiller des frustrations, des rancoeurs et par la suite entraîner une rupture de dialogue. La sexualité étant encore un sujet tabou et par lequel on peut se sentir rapidement blessé, il est important de dialoguer sur cette partie de votre vie de couple de façon directe mais bienveillante et positive et d'être réellement présent, à l'écoute l'un pour l'autre. Prenez du temps pour partager votre ressenti, ce que vous aimez moins ou vos nouvelles propositions en mettant une attention particulière à utiliser le "JE" car le "TU" peut blesser votre partenaire et diminuer sa confiance en lui. Soyez également curieux du plaisir de l'autre et de ce qu'il aimerait. La sexualité se construit à deux, le but n'est pas de trouver un coupable, mais d'accorder vos fonctionnements, vos envies et vos énergies.

 

4. Se surprendre et être créatif

Avec le temps vous savez ce qui fonctionne entre vous, vous avez tendance à faire les mêmes choses sous la couette, ceci pour deux raisons : soit vous savez que ça marche, soit vous ne prenez pas le risque de déplaire et restez dans votre zone de confort. Or, le pire ennemi du désir, c'est la routine! Veillez donc à amener de la nouveauté et des nouvelles idées sous votre couette. Cela ne veut pas dire que vous devez pratiquer le kamasutra, mais juste laisser de la place à vos fantasmes, à vos envies, à des petits resto mode séduction ou à mettre une ambiance dans la chambre ou ailleurs... Osez faire différemment!

 

5. Mettre de l'énergie dans ce qui compte

Si vous voulez un nouveau travail ou rénover une maison, pour que cela fonctionne, vous y mettez de l'énergie pas vrai ? Et bien, le désir c'est la même chose. Pour cultiver son désir et sa vie sexuelle il faut y mettre de l'énergie, sinon tous les prétextes sont bons : pas de temps, trop d'obligations, trop de fatigue... Si vous voulez prendre soin du désir dans votre couple et en faire une bulle à part entière, il faut lui consacrer du temps, de l'espace, des pensées et de l'attention. Demandez-vous ce que vous voulez vraiment pour votre vie intime afin de pouvoir le mettre en place.

La seconde chose à faire est de mettre de l'énergie dans la relation amoureuse et sensuelle et pas seulement dans l'acte sexuel que l'on réduit trop souvent à l'espace temps : pénétration jusqu'à orgasme. La sexualité est avant tout un partage, il est essentiel d'accorder autant d'importance au ressenti et à tout ce qui se passe avant la pénétration (préliminaires, caresses, exploration des sensations, excitation) qu'au reste. Cela implique aussi de se détacher de la sexualité de résultat, c'est à dire de cet empressement à atteindre l'orgasme à tout prix. De plus, se focaliser sur le résultat de l'orgasme est le meilleur moyen de ne pas l'atteindre, alors profitez du présent surtout quand vous faites l'amour. Soyez attentif avant tout à prendre le temps de vous construire un moment de partage et de découverte sous le signe du plaisir.

Et surtout, pensez à rester légers dans la sexualité!

Virginie, coach et sexologue

Coronavirus par-ci et Covid 19 par-là, ce virus n’aura cessé d’atteindre nos oreilles depuis plusieurs semaines ! Télétravail pour les uns, arrêt obligatoire pour les autres ou encore heures supplémentaires pour certains, on ne peut plus le nier que cette période est unique et toujours en proie aux incertitudes. Mais qu’en est-il de vos loulous ? Ces véritables éponges émotionnelles doivent changer leurs habitudes et entendent parler de ce nouveau micro-organisme régulièrement sans trop comprendre ce que tout cela représente. Tant d’informations, de règles d’hygiène, de chamboulements et puis…. Ouf, une cabane ! Un matelas, un fauteuil, des chaises, des draps, des coussins, tout fera l’affaire pour jouer et créer un abri ! Et là… grand soupir et soulagement !

Voici enfin un espace apaisant, contenant et sécurisant pour votre enfant. Finalement, le voilà comme confiné pendant le confinement ! Et cela n’a rien d’anodin !

Il se crée un espace qu’il a imaginé et où il peut entrer et sortir, comme s’il décidait lui-même quand se confiner et se déconfiner. Alors que nous sommes assaillis par ce ‘’Restez chez vous !’’ pour ensuite arriver à ce ‘’tout le monde dehors’’,  il retrouve la possibilité de reprendre un certain contrôle de la situation. C’est sa cabane où il dépose ce qu’il souhaite, crée son propre monde imaginaire et parle de ce qu’il désire. Et pendant que les apprentissages scolaires sont bouleversés et/ou que les crèches sont chamboulées, il apprend à structurer son action et développe de nombreuses aptitudes psychomotrices dont ses capacités spatio-temporelles qui l’aideront plus tard dans différentes compétences telles que les mathématiques et l’écriture.

Ensuite, pendant que l’environnement extérieur est instable, sa construction lui apporte un apaisement intérieur.  Même pour les tout-petits, la cabane permet de nombreuses activités telles que jouer au ‘’Cacher-coucou’’ qui l’aide à symboliser la présence et l’absence, il s’agit ainsi d’un espace propice à la construction de sa propre identité et suscite une sécurité affective. L’enfant peut même la fortifier et la rendre inaccessible pour lui apporter un symbole de protection ou plutôt l’imaginer simple et confortable tel un cocon réconfortant. Ainsi, cette cabane semble représenter une véritable activité favorable à un développement psychomoteur harmonieux.

Finalement en confinement ou en déconfinement, on se réinvente une cabane ?! Les psychomotriciennes du centre EPANO attendent vos enfants pour construire encore plus de cabanes et vivre toujours plus d’aventures !

Justine RENSON

Delphyna FREDERIC

Alors finalement, C’est quoi le coaching ?

Le mot coaching est un mot utilisé dans des domaines diverses et à tout vent. C'est pourquoi il importe de le définir. C'est la 1ère étape.

En vieux francais le mot « coach » (Bien avant qu’il soit utilisé dans la langue anglaise) désigne les anciennes voitures à deux portes et quatre roues tirées par des chevaux. La voiture et son coché accompagnaient le mouvement du cheval et guidaient l’énergie, les ressources du cheval sur le chemin. Un coach est donc un catalyseur qui vous accompagne à faire bouger, à mettre en mouvement votre vie afin d’agir et d’atteindre ce qui est important pour vous.

Dans le cadre d’un coaching personnel, il s’agit de vous éclairer sur vos blocages, de vous refléter vos contradictions et de faire émerger les solutions qui vous conviennent à vous, afin de connecter à des ressources puissantes que vous n’imaginez parfois même pas posséder. Le processus de coaching se déroule en plusieurs étapes :

  1. Clarifier ce qui est important pour vous : ce que vous ne voulez plus, ce que vous voulez à la place
  2. Etablir votre objectif, celui qui vous tient à coeur
  3. Prendre conscience de vos blocages, contradictions mais surtout de vos ressources et capacités
  4. Mettre en place des actions pour vous voir et sentir avancer concrètement sur ce que vous voulez

 

Le but du coaching est de mettre des changements concrets en place dans votre vie afin de vous libérer de votre passé, de vos blessures, de vos craintes, du schéma actuel qui ne vous convient pas pour construire activement votre futur et que vous puissiez en mesurer la différence !

La 2ème question à laquelle il est important de répondre pour savoir si le coaching peut vous être utile est...

 

Comment cela se passe un coaching ?

Un coaching est une séance individuelle où il y a un échange dynamique entre le coach et le coaché. L’énergie qu’un coach vous transmet dans un entretien lors d’un processus de coaching est très importante. Lors de ce processus, vous prenez petit à petit conscience de vos propres freins, de vos blocages et vous travaillez de façon concrète à trouver des solutions pour retrouver votre autonomie. Ceci est le but principal d’un coaching : lever les freins et activer les leviers pour que vous soyez à nouveau autonome dans votre joie de vivre et votre sérénité. Généralement 4 à 6 séances suffisent. Il est essentiel de préciser qu’un coaching est un travail sur vous-même, vous ne changerez pas les autres, et un bon coach vous le rappellera souvent. Il est donc primordial que votre objectif soit sous votre contrôle et non sous le contrôle de quelqu’un d’autre. Tous les domaines de la vie peuvent y être travaillés : vie personnelle, angoisses, relation de couple, perte de sens, projet professionnel, deuil... Attention, la clé du succès n'est possible que s'il y a une volonté de changement.

 

Du coup, ça fait quoi un coach ?

Le coach écoute, mais pas seulement. Il vous reflète aussi avec bienveillance vos contradictions.

Le coach écoute, mais pas seulement. Il vous plonge hors du mental, il vous fait vivre des exercices concrets pour créer un espace de guérison qui ne se refermera probablement jamais.

Le coach écoute, mais pas seulement. Il précise ce qui vous tient à coeur pour passer d’un blocage de la taille du Mont Everest à la taille d’un monticule de terre au milieu d’un champs bien plus facile à franchir.

Le coach écoute, mais pas seulement. Il vous accompagne à agir, à mettre en route et à atteindre ce qui est important pour vous.

Pour finir, le coach écoute, mais pas seulement. Il ne donne pas de conseils. Vous avez déjà bien assez de gens autour de vous qui vous disent ce qu’il faut faire ou ce qu’il ne faut pas faire. Le coach se plonge dans votre propre monde pour vous y accompagner à trouver vos propres solutions.

 

Que dire de plus du coaching ?

Que le coaching a un seul et unique but , le but de vivre plus libre et autonome, mais surtout qu’il doit se vivre et être expérimenté pour en ressentir toute la puissance et le bénéfice.

 

Virginie Motte, coach

Qu'est-ce que c'est ?

La sémiophonie est une méthode audio-phonatoire. Elle est destinée aux enfants, adolescents et adultes atteints d’un trouble développemental du langage oral et/ou écrit (retard de parole, trouble développemental du langage/dysphasie, dyslexie, dysorthographie…). Elle agit sur les automatismes élémentaires du langage pour permettre l’accès au langage oral et écrit.

Les personnes présentant des déficits phonologiques ne peuvent accéder à un apprentissage correct de la lecture et de l'orthographe et peuvent développer des troubles du langage écrit.

Pour résumer, nous avons deux piliers : d'un côté le pilier du sens, qui fait appel à l'intelligence, au développement, aux apprentissages. De l'autre côté, le pilier du son qui ne fait pas appel à l'intelligence, mais à la capacité à découper ce sens en petites tranches plus ou moins fines et à accéder à ces représentations (phonème, syllabe, mot), qu'on appelle phonologie. Normalement les deux piliers fonctionnent ensemble. Chez les personnes dyslexiques par exemple (sans difficultés visuelles ou attentionnelles), le pilier du sens marche tout à fait bien, par contre, le pilier du son ne fonctionne pas très bien, mais surtout, n'est pas automatisé. C'est donc le pilier du sens qui va compenser et faire tout le travail. Ce que nous faisons sans y penser, de manière réflexe, ne l'est pas chez ces personnes, cela leur prend donc beaucoup d'énergie, de concentration. Avec la sémiophonie, le but est de rendre l'utilisation du "pilier du son" automatique, afin de libérer de la charge cognitive, et de fluidifier la vitesse de lecture.

 

Points fondamentaux

C’est un bruit qui va reproduire les caractéristiques du langage : rythme, intensité, fréquence. Ainsi la paramétrie constitue la signature intonative de la langue, oubliant dans un premier temps l'aspect sémantique. Elle permet de confronter directement le sujet à l'une des dimensions fondamentales du langage qui depuis le début de sa vie est devenue inconsciente. Par ailleurs, le son paramétrique produit un effet renforçateur sur la boucle audio-phonatoire (effet « stabilo »). Ce bruit paramétrique est présent dans toutes les phases de la rééducation.

 

Le but est de faire percevoir les aspects phonologiques sans s’appuyer sur le sens. L’alternance permet de mettre en relief la syllabe, puis le phonème, puis l’unité lexicale (mot).

 

Toujours en automatisation, le patient va entendre des mots, puis des phrases de difficulté croissante, et il devra les répéter. La voix de l’enfant sera elle aussi soulignée par le bruit paramétrique.

 

Un protocole thérapeutique en plusieurs étapes

Écouter

Fondamentale, réparatrice, la première phase sensibilise l'écoute du sujet en soulignant les aspects intonatifs et prosodiques du langage.

 

Écouter Parler

La seconde phase invite à répéter des mots, puis des phrases formant des récits. La boucle audio-phonatoire agit sur les automatismes élémentaires du langage et contribue à libérer les facultés phonologiques du patient.

 

Écouter Parler Lire et Écrire

Toujours accompagnée de la boucle audio-phonatoire, la troisième phase introduit progressivement la lecture et l’écriture. Les exercices se complexifient jusqu’au stade où, à son rythme, le patient acquiert enfin l’aisance pour lire et écrire.

 

 

Sources article: site Lexidia.org, site Sémiophonie.com.

Vidéo : créée par Lexidia et des étudiants de Digital Campus

 

Justine Chevalier logopède

Le massage bébé et de la femme enceinte au centre de la relation.

Savez-vous que le toucher est le tout premier sens à se développer déjà dans le ventre de maman (dès la 8ème  semaine de grossesse) ?  Savez-vous que le fœtus est réceptif aux massages dès le 4ème mois de grossesse ? Et que vous pouvez même le sentir bouger en fonction du mouvement de vos mains ?! Les bienfaits du massage bébé et de la femme enceinte sont nombreux.  Même si Loulou se cache toujours dans le ventre de maman, ces quelques gestes privilégient les premiers contacts entre les deux êtres.

Avant la naissance

Premièrement, il y a une stimulation de production de l’ocytocine, l’hormone du plaisir, qui est ensuite transmise au fœtus.  Cela favorise un développement serein pour bébé et une grossesse plus apaisée.

C’est  un instant où la future maman peut prendre du temps pour elle et se sentir bien dans son corps. Bien que la grossesse soit un évènement magique, les bouleversements physiques, hormonaux et émotionnels ont tendance à la malmener.  Or si elle n’est pas bien, le petit en ressentira les effets.  Des études ont démontré que l’enfant pouvait développer des comportements lié à son vécu intra-utérin.

Ainsi, le massage favorise le bien-être physique et mental de maman :

Après la naissance 

N'oublions pas que ce petit bout est passé d'un milieu aquatique très contenant et rassurant à un environnement rempli d'informations. Le rôle principal du massage restera l'apaisement et la diminution des angoisses. Par cette détente, le cycle éveil-sommeil en sera favorisé et rendra bébé plus disponible pour les échanges avec lui-même, l'autre et son environnement. Ainsi, son développement psycho-moteur en sera stimulé (conscience du corps, schéma corporel, image du corps,... qui sont les prémices pour un bon développement moteur, psychique et affectif).

Mais c'est aussi bien plus que ça ! Un instant intime entre le parent et l'enfant qui favorise la communication entre les deux. De plus, la production de cette hormone du plaisir, l'ocytocine, développe le lien d'attachement. Auquel s'ajoute les avantages de stimuler la circulation sanguine et d'apaiser certaines douleurs comme une digestion difficile par exemple.

Plus qu'un temps d'apaisement, le massage représente un véritable atout pour aider bébé à sentir son corps, découvrir son environnement et créer un lien avec le parent. Une base pour une belle relation avec le monde.

Par Delphyna Frédéric, psychomotricienne et massothérapeute futures mamans et bébés.

Les cercles d'influence...

Il peut arriver que l’on se sente dispersé, que l’on subisse un événement difficile, un stress, ou que l’on ressente de la peur. Pourtant, bien souvent nous n’avons pas totalement prise sur ces situations.

Pour apaiser ces émotions, nous pouvons utiliser « les cercles d’influence » : rediriger notre énergie au bon endroit. Il s’agit tout simplement de faire le tri, d’identifier, dans ce que nous vivons, ce qui est sous notre contrôle, ce sur quoi nous avons une certaine influence et ce sur quoi nous n’avons aucun contrôle.

Le cercle de « contrôle » permet d’identifier les éléments sur lesquels nous avons totalement prise : nous y choisissons, décidons, agissons.

A l’inverse, le cercle « hors contrôle » met en évidence les aspects de nos stress qui sont hors de notre portée d’intervention. En mettant notre énergie dans cette zone, nous subissons les événements et finissons par perdre nos forces.

 

... pour mieux cibler nos engagements

Pour reprendre les rênes en main, nous pouvons choisir de mettre notre énergie dans le cercle d’influence : nous engager à faire ce qui est à notre portée, nous affirmer, donner un avis, accompagner, proposer des solutions.

En faisant ainsi, nous laissons de côté ce qui ne nous appartient pas et nous pouvons imaginer des actions concrètes pour augmenter nos cercles de contrôle et d’influence.

Grâce à cet outil, nous décidons de mettre notre énergie au bon endroit pour évoluer avec sérénité et créativité.

 

Par Virginie de Hemptinne, coach

Le repos de la nature avant le grand réveil du printemps

En hiver la nature se met en état de repos : les feuilles des arbres tombent et le flux de leur sève baisse ; les animaux hibernent ; les températures chutent ; la luminosité diminue. La nature fait une pause de plusieurs mois pour se régénérer et prendre des forces avant le grand éveil du printemps.

Bien que cette saison soit une invitation à en faire de même, à dormir un peu plus, à rester au chaud, et à ralentir le rythme, attention cependant de ne pas tomber dans une pratique de yoga qui nous amène dans un état avec un excès de lenteur et de repos.

Selon l’Ayurveda (la médecine traditionnelle indienne), la période de l’hiver est une période d’accumulation de l’énergie Kapha dont les principales caractéristiques sont : le poids, la stabilité, la froid, la lenteur, la douceur, l’onctuosité, la viscosité.

Si nous appliquons les principes du yoga et de l’ayurveda dont les maîtres mots sont équilibre et harmonie, il est important d’adopter une pratique dynamique, fluide et centrée sur la respiration pour stimuler l’organisme et amener de la chaleur.

Cependant, l’hiver est aussi une période où nous avons besoin de pratiques douces pour créer une ambiance favorable à l’introspection et au repos.

 

Alors quelle pratique de yoga adopter en hiver ?

Une pratique douce avec de longues relaxations ou bien mieux vaut-il se secouer un peu pour dynamiser le corps ?

Si Kapha prédomine en vous, alors ne faites pas de siestes ou de relaxations trop longues. Cependant, si vous ressentez le besoin de vous régénérer, il est bon de pratiquer un yoga nidra (yoga du sommeil) 1 ou 2 fois par semaine, par exemple en début d’après-midi. Il est conseillé de pratiquer un yoga dynamique, qui apportera chaleur dans votre corps, mais en prenant encore plus conscience du mouvement et du souffle pour créer ces moments d’introspection.

Les guerriers (Virabhadrasana) qui renforcent les muscles sont les bienvenus, combinés à des postures qui étirent les muscles et qui stimulent les organes internes abdominaux tels que la Pince (Paschimottanasana) et la Demi-torsion latérale (Ardha Matsyendrasana). N’hésitez pas aussi à pratiquer des postures d’ouverture de la poitrine qui donnent de l’amplitude pulmonaire telles que le Poisson (Matsyendrasana), le Cobra (Bhujang asana) ou l’Arc (Dhanurasana). La Salutation au Soleil (Surya Namaskar) peut être pratiquée le matin. Elle permet de faire circuler l’énergie et de réchauffer le corps. La Salutation à la Lune (Chandra Namaskar) qui fait descendre l’énergie et apaise le corps et le mental, peut-être pratiquée le soir ou en fin de journée.

Les respirations réchauffantes et dynamisantes comme Kapalabhati sont les bienvenues. Les retentions sont des moments suspendus, des moments de pause, d’écoute et d’observation. Accordez-vous aussi des petits moments de méditation en début de journée et/ou en soirée.

Pour prévenir les rhumes, les sinusites, les rhinites, etc, n’hésitez pas à utiliser quotidiennement le Jala Neti. C’est une technique de purification (Kriya) qui est utilisée par les yogis depuis des millénaires. Il s’agit du nettoyage du nez (douche nasale) avec de l’eau salée.

Par Hélène Decloux, professeur de yoga.

Un(e) neuropsychologue peut intervenir dans différents cas :

Voici les démarches à suivre et les documents à fournir pour un bilan logopédique, ainsi que la mise en place d’un suivi :

Pour un bilan initial logopédique en langage oral :

Si suspicion de dysphasie, la prescription devra être faite par un neurologue/neuropédiatre.

Pour un bilan initial logopédique en langage écrit :

Si un traitement logopédique est mis en place suite au bilan :

Constitution du dossier destiné à la mutuelle avec le logopède.

Remarques importantes :

Vous pouvez consulter le lien suivant de la Mutualité Chrétienne, reprenant l’ensemble de ces informations : https://www.mc.be/media/ligne-du-temps_tcm49-28622.pdf

Psychomotricité en groupe, relationnelle, éducative

« -Psychomo quoi ?
- Ah oui de la gym ! Des parcours et du sport pour les petits ! »

STOP ! La psychomotricité en groupe n'est pas un sport. Souvent appelée « relationnelle » ou « éducative », il s’agit d’un espace et d’un temps où quelques enfants se retrouvent dans un cadre structuré et pensé en fonction de leurs besoins. Nous leur proposons un environnement aménagé de manière à proposer à l’enfant différents types de jeux favorisant son développement.

Il y a certes la possibilité de bouger avec son corps (sauter, rouler, se laisser tomber….) afin de développer ses capacités motrices mais on retrouve également un espace symbolique. Celui-ci facilite la créativité, aide à s’exprimer, rêver ou transformer des expériences vécues. Les jeux de constructions ont également leur place puisqu'ils stimulent les capacités cognitives de l'enfant et lui demandent une certaine réflexion.

Peu importe leur choix, nous nous plaçons en partenaire de jeu afin d’accompagner l’enfant dans ses expériences, mettre des mots sur les pensées, leurs émotions. Bref les aider à trier toutes les informations qu’ils perçoivent (et même les aider à les percevoir !). Notre objectif est qu’ils se sentent bien dans leur tête, leur corps mais aussi leur cœur.

De plus, nous pouvons toujours compter sur le soutien du groupe pour vivre de nouvelles aventures, des questionnements toujours plus variés et une évolution souvent boostée grâce à la coopération et la cohésion !

Justine RENSON
Delphyna FREDERIC
Psychomotriciennes.

Rue de la Vallée 44 - 5310 Hanret
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