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Communiquer c’est mettre en commun des images. C’est-à-dire qu’un objet mental commun aux participants se construit au cours d’un échange. Communiquer c’est mettre en commun des images.

Lors d’un acte de parole, cet objet (OREV-Objet Référentiel de l’Echange Verbal décrit par Sylvie Le Huche) n’appartient à aucun des participants de l’échange. Il se construit progressivement dans l’interaction entre les protagonistes en fonction des leurs ajustements de pensée et projections affectives qui s’expriment à travers leur parole.

Cet OREV est commun à tous et pourtant différent pour chacun car il se colore des affects et du point de vue particulier de chacun. En même temps qu’il se construit, il sert de référence à chaque prise de parole ou reprise de parole des interlocuteurs. Si ce n’est pas le cas, ce qui est dit paraît hors de propos.

Il n’y a donc pas une seule bonne façon de communiquer, de dire ou se faire comprendre. Chaque interlocuteur va procéder à sa manière (geste, mimique, intonation particulière…) et en fonction de sa connaissance de l’autre.

Communiquer reste un processus interactif complexe pour lequel des priorités sont nécessaires. Aussi, voici 5 conseils pour favoriser et faciliter l’échange verbal ainsi que la communication avec votre enfant :

  1. Se placer à hauteur de l’enfant afin d’établir un contact visuel. Ceci vous permettra de capter pleinement son attention (ne pas parler à l’enfant lorsqu’il semble occupé à réaliser une action, lorsqu’il regarde un écran, …) ou de lui démontrer votre intérêt face à ce qu’il veut vous dire, l’importance de l’échange.
  2. Attendre (règle des 5 secondes): même si vous devinez ce que veut dire ou souhaite votre enfant, attendez qu’il termine sa phrase, son mot, émette un geste ou un son (selon son niveau de développement). Par cette stratégie, vous mettez en place le respect du tour du parole, vous lui laissez le temps de structurer sa pensée, vous l’encouragez à faire des efforts pour s’exprimer.
  3. Ecouter et observer ce que dit et fait l’enfant pour suivre ses intérêts. Cela permettra le développement d’une communication fertile et tout un jeu d’échange. Communiquer doit être positif et agréable.
  4. Adapter votre langage à son niveau de développement et parler plus lentement. Vous facilitez ainsi la compréhension du message, des consignes et de l’information. Cela vous « discipline » également à vérifier que ce que vous dites a du sens, est conforme à ce que vous voulez exprimer et est digeste pour votre enfant. Et vous demande de réajuster si nécessaire.
  5. Être attentif au non verbal. Par son attitude et ses gestes, votre enfant vous envoie des messages qui peuvent vous aider à mieux le comprendre et inversement ajouter des gestes à votre parole permet à l’enfant de mieux comprendre le message, de s’appuyer sur ce qu’il voit tout en entendant le message (lier le geste au discours).

Virginie Thioux-Skieresz, Logopède

Sucre, sucres rapides, confiseries

Notre corps a besoin de sucres pour fonctionner, mais nous consommons trop de sucres rapides.

On les trouve dans les confiseries, les biscuits industriels, les sauces, les bouillons de légumes, le pain blanc, les biscottes, les pâtes, les sodas, les sirops, les yaourts aromatisés, etc.

Envie de sucre et émotions

Tout d’abord, le goût naturel nous porte vers ce qui est sucré, et ce dès notre naissance.

Ensuite, un des premiers effets physiologiques sera une sécrétion de dopamine. Cette hormone sécrétée par les neurones du cerveau fonctionne comme une récompense et apporte plaisir et euphorie à l’organisme. Stimulé régulièrement par un apport de sucre, le corps devient dépendant, car le cerveau s’adapte et produit davantage de récepteurs à dopamine. Afin de satisfaire ces récepteurs, nous consommerons plus de sucre. Le sucre nous rend heureux et accros en même temps.

D’autre part, cette abondance de sucre fait bondir la glycémie (c.a.d. le taux de sucre dans le sang). Grâce l’insuline produite par le pancréas, la glycémie peut diminuer rapidement, et le cerveau, friand de sucre, va se retrouver en « manque ». Cela se traduira en irritabilité, mauvaise humeur, fatigue, difficultés de concentration et une augmentation de l’envie de sucre. Cela s’appelle l’hypoglycémie réactionnelle.

Enfin, le sucre est stocké dans les cellules sous forme de graisse. Voici la cause majeure des kilos en trop qui peuvent favoriser une mauvaise image de soi, diminuer notre envie de sortir ou de prendre du plaisir à nos activités habituelles.

Privilégiez les sucres complexes présents dans les pâtes ou le pain complet ainsi qu’un peu de sucres simples naturels présents dans les fruits, le miel ou le sirop d’érable, …. Et gardez le sucre raffiné pour des moments plaisirs à déguster par exemple en pleine conscience.

Par Virginie de Hemptinne, coach et consultante en nutrition.

C’est quoi méditer en pleine conscience ?

Dans notre monde moderne où tout va vite, notre esprit est constamment occupé, agité par toutes sortes de préoccupations mentales qui peuvent créer en nous une série de sensations et d’émotions d’intensité variable et +/- agréables. Notre mental peut également parfois devenir un véritable tyran qui dicte nos actions tout en nous éloignant insidieusement de nos valeurs et de la vie qu’on voudrait avoir.

La pleine conscience permet de ralentir, de prendre un peu de recul pour se poser dans l’instant et observer avec bienveillance de quoi se compose mon expérience dans cet instant unique.

Etre pleinement conscient de l’instant et de ses sensations, pensées et émotions… est enseigné et pratiqué aujourd’hui dans les écoles, les entreprises, les familles,… Si elle suscite aujourd’hui tant l’intérêt des neuroscientifiques et des psychologues, c’est parce qu’elle favorise un état mental qui prémunit contre le stress, la dépresionn et le burn-out.

 

Pourquoi pratiquer la pleine conscience ? Pourquoi méditer ?

La méditation, c’est une sorte de fitness mentale. C’est s’entraîner à observer les pensées qui « polluent » notre esprit, à noter les émotions qui nous submergent, à remarquer nos sensations corporelles. En devenant peu à peu plus conscients de ce qui se passe réellement à l’intérieur de nous et autour de nous, nous pouvons alors mieux orienter notre vie, en être acteur, réguler nos émotions, être pleinement vivant au présent.

La méditation permet d’obtenir un lâcher prise physique et mental. Elle met l’accent sur l’acceptation de l’instant présent. En ne jugeant pas nos propres expériences, la pleine conscience favorise notre motivation et notre concentration sur l’atteinte de nos objectifs. Les personnes qui s’entraînent à la pleine conscience ont tendance à persister davantage face à une tâche difficile, à être plus engagées au travail et à se montrer moins impulsives.

La méditation améliore la qualité du sommeil et de l’humeur. Elle nous rend plus perspicace, bienveillant et moins égocentrique, ce qui améliore nos relations avec les autres tout en se respectant soi-même. Elle peut avoir un impact sur la régulation des troubles alimentaires et des compulsions de manière plus générale. La méditation régulière aide à gérer le stress et améliore la confiance en soi. Néanmoins si le stress est trop important, mieux vaut s’orienter alors vers une psychothérapie.

Les bienfaits de la méditation ont été confirmés par de nombreuses études scientifiques (Miller et al, 1995). Pour commencer et répondre à vos questions, mieux vaut se faire accompagner par un professionnel qualifié. Si ça vous tente, venez nous rejoindre pour un atelier de pleine conscience en groupe au centre épano.

Nathalie Ropson, docteure en sciences, formée en MBSR (Mindfulness Based Stress Reduction).

La régulation des émotions c’est pouvoir influencer quelles émotions on a, quand on les a et comment on les ressent et on les exprime.

La régulation des émotions dysfonctionnelles ou inappropriées peut prendre plusieurs formes :

La fonction principale des émotions est de communiquer aux autres et de chercher à les influencer. La communication des émotions influence les autres ; la colère arrête les autres, la tristesse et le désespoir peut pousser les autres à prendre soin de nous. L’expression inadéquate des émotions peut conduire soit à des conflits interpersonnels soit au retrait.

Les émotions servent aussi à nous communiquer à nous-mêmes, à nous auto-valider.
Après plusieurs essais et erreurs, on en vient à se fier à ses émotions, ce qui contribue à construire son identité. « Se fier à ses sentiments » « Je le sens dans mes tripes »

Lorsque l’émotion est ressentie, elle pousse vers l’action : comme fuir en état de peur, se battre en situation de colère. Mais cette tendance à l’action peut être bloquée, parce que nos expériences passées nous ont appris a le faire.

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